Ce mois-ci, 8 lectures, soit 2 785 pages.

Minute, papillon !, Mémé dans les orties, Nos adorables belles-filles, Aurélie Valognes (260 p., 280 p., 270 p.).

Après ma relecture de Fruits basket, j'ai eu du mal à trouver quoi lire (et à me remette de mes émotions...). Je suis tombée sur les livres d'Aurélie Valognes par hasard, après les avoir croisés plusieurs fois en librairie sans sauter le pas (ils sont tellement reconnaissables, avec leur couverture à carreaux !). J'ai beaucoup aimé ces petites histoires de "vrais" gens, qu'on soit dans la vieillesse solitaire avec Mémé dans les orties, dans les repas de famille avec gros lourds de Nos adorables belles-filles ou la méchanceté contre la bienveillance dans Minute, papillon !.

 

La fille qui lisait dans le métro, Christine Féret-Fleury (170 p.).

J'ai été déçue par cette histoire alors qu'elle promettait quelque chose d'inédit. Mais les personnages sont survolés et l'histoire se termine là où on aimerait en savoir plus. C'était bien mais c'était aussi une déception.

 

Les lettres de Rose, Clarisse Sabard (382 p.).

J'ai beaucoup aimé cette histoire pleine de non-dits et de secrets familiaux dévoilés à l'aide de lettres. Cela m'a fait penser aux romans régionalistes que je lisais plus jeune, où les femmes, dans un monde paysan, subissent diverses épreuves et ne s'en tirent pas toujours bien, mêlé à de la romance toute simple. Les personnages sont sympathiques, même les concierges du village, même si j'aurais aimé que Vincent soit un peu plus approfondi...

 

La ferme du bout du monde, Sarah Vaughan (439 p.).

Je me suis un peu perdue dans les différents personnages. Par contre, pas dans les périodes. Les passages parlant de la mer sont les plus beaux, mais j'ai aimé aussi ceux de prise de conscience de Lucy. Et puis, Will et Maggie ♥

 

Le jardin de l'oubli, Clarisse Sabard (427 p.).

J'ai moins aimé ce roman que Les Lettres de Rose. La résolution de l'intrigue est mal fichue. On a un certain fonctionnement de narration, puis l'auteure change complètement de façon de faire pour tout nous dire d'un coup. On dirait presque un polar de Camilla Läckberg #TMTC. Et puis, trop de tristesse partout, tout le temps, je n'ai pas réussi à trouver le côté optimiste, comme dans l'autre.

 

Changer l'eau des fleurs, Valérie Perrin (557 p.).

Véritable coup de cœur, je vous en parle là

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