Ce mois-ci, 6 lectures, soit 2319 pages.

Les travaux d'Apollon, tome 2 : La prophétie des ténèbres , Rick Riordan (496 p.).

Lester-Apollon reprend du service ! Sa flèche magique est toujours aussi drôle et les histoires mythologiques s'étendent encore à d'autres régions du monde ^^'

 

 

Magasin général, tome 1 : Marie, Loisel et Tripp (80 p.).

Magasin général, tome 2 : Serge, Loisel et Tripp (72 p.).

Mes collègues m'ayant offert les 2 premiers tomes, j'ai pu me replonger dans cette histoire avec des drôles d'expressions et un petit chat trop mignon. Les dessins ne sont pas complètement à mon goût, mais je ne peux pas leur retirer les détails et un vrai pouvoir pour raconter l'histoire rien qu'avec les dessins, sans bulle parfois.

 

Winnie l'ourson, A. A. Milne (176 p.).

J'étais très contente quand Gaëlle m'a envoyé ce livre dans le swap. Je me suis gardé un petit chapitre par soir en "bonbon". Et je ne pensais pas du tout y trouver une ironie cinglante de la part du narrateur XD Winnie passe son temps à manger et être un gros égoïste, Bourriquet (qui ne s'appelle pas encore Bourriquet mais Hi-Han) est une grosse attention whore dépressive... Bref, c'est loin d'être aussi guimauve que le dessin animé que j'ai regardé des milliards de fois dans mon enfance. Néanmoins, ça parle toujours d'amitié et les 10 chapitres finissent bien, comme il se doit pour un livre pour enfant. Et les illustrations ♥ J'ai adoré ♥

 

L'héritage, tome 1 : Eragon, Christopher Paolini (702 p.).

La pub pour le passage du film un dimanche soir m'a donné envie de relire la saga, lue il y a peut-être pas 10 ans mais pas loin. Je ne me souvenais pas que le style de l'auteur était aussi nul dans le 1er chapitre XD Bordel, le nombre de synonyme pour la lune... Et vas-y que par la suite, il enjolive, il circonvolucionne... Bref. Néanmoins, son monde m'a emporte et j'ai été incapable de reposer le livre une fois commencé, je l'ai même emmené pour manger, ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé.

 

L'héritage, tome 2 : L'aîné, Christopher Paolini (793 p.).

Je poursuis mon voyage avec Eragon, parce que, bien que le style de l'auteur soit ampoulé, il réussit quand même à m'emporter dans son imagination.

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